Étude : Retourner vivre chez ses parents aide les jeunes adultes à épargner des paiements d’acompte

 

Nous avons tous entendu les nouvelles selon lesquelles l’accession à la propriété est inaccessible pour les jeunes adultes. Une nouvelle analyse conclut que la hausse des loyers rend plus difficile pour les locataires d’épargner pour une mise de fonds. La solution ? Retourner vivre chez papa et maman.

 

Une plateforme de recherche (avez-vous pensé à se loger com location ?) de location, a constaté que la valeur médiane d’une maison est de 225 300 €, ce qui signifie qu’un acompte de 20 % représente environ 45 000 €. Si un locataire gagnant le revenu annuel médian économise 16,5 pour cent de son revenu après avoir pris en compte les coûts de logement chaque mois – le taux d’épargne typique des locataires – il aurait suffisamment d’économies au bout de huit ans.

 

Le locataire typique dépensant environ 34 pour cent de son revenu pour le logement, on peut voir comment emménager chez des parents a du sens. Si un locataire gagnant le revenu médian éliminait ses dépenses de logement et augmentait son épargne mensuelle proportionnellement, il aurait suffisamment épargné pour verser un acompte de 20 % sur la maison médiane après environ cinq ans – et presque trois ans plus tôt que ceux qui paient un loyer et épargnent pour un acompte simultanément.

« Trouver une mise de fonds est souvent le plus grand obstacle pour les acheteurs d’une première maison ». « Le défi est devenu d’autant plus difficile en raison de la hausse des loyers et de la valeur des maisons, qui rend l’épargne plus difficile et l’acompte nécessaire plus important.

 

Si vivre de manière indépendante peut être attrayant, pour beaucoup, cela ne vaut pas la peine de repousser l’accession à la propriété. Vivre sans loyer avec la famille est un moyen de plus en plus courant pour les jeunes adultes d’accumuler le pot d’épargne nécessaire à l’achat de leur première maison. »

Emménager avec sa famille peut permettre aux locataires d’épargner (voir les conseils de l’udaf) plus facilement, en particulier sur les marchés coûteux où les coûts de logement représentent une part plus importante des revenus.

 

Bien qu’un acompte de 20 % soit souvent un objectif, 60 % des premiers acheteurs finissent par mettre moins de 20 %, selon le rapport sur les tendances en matière de logement des consommateurs. Un locataire typique cherchant à mettre 10 % d’acompte sur la maison médiane (22 530 €) a besoin de quatre ans pour épargner en vue d’un acompte, tandis qu’une personne ayant le revenu typique d’un locataire et n’ayant pas de dépenses de logement pourrait généralement épargner ce montant plus de deux ans plus tôt, après deux ans et sept mois.

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