Premier investissement locatif : les clés pour réussir

L’économie française n’a pas été épargnée par la crise sanitaire mondiale due à la pandémie de Covid-19. L’immobilier fait partie des secteurs touchés par cette crise. Malgré tout, les projets d’accession à la propriété sont toujours recommandés pour ceux qui souhaitent placer leur argent ou encore réduire leurs impôts tout en obtenant des revenus supplémentaires. La demande est en hausse concernant l’immobilier en environnement calme et en surface intérieure confortable. Si vous êtes décidé à vous lancer dans votre premierinvestissement immobilier locatif, voici nos conseils pour réussir.

L’investissement immobilier locatif 

 

La plupart des placements financiers ont été durement touchés par la crise. Dans le cas de l’immobilier, l’investissement dans le neuf reste une option sécurisée, grâce à sa caractéristique de valeur refuge. Les avantages fiscaux sont mis en place par le biais de dispositifs comme la loi Pinel. En effet, l’État encourage vivement les investisseurs à placer leurs fonds dans des logements neufs aux normes environnementales et écologiques, dans le but de favoriser le développement durable. L’investissement immobilier locatif se révèle être un placement intéressant, dans le sens où il permettra d’avoir des revenus complémentaires.

 

Se lancer dans l’investissement immobilier locatif 

 

Le bon choix pour un premier investissement locatif

Avant d’entreprendre les démarches pour un premier investissement locatif, il est important de définir les objectifs à atteindre. Cela n’est possible que si on connaît les avantages et les inconvénients de chaque type d’investissement locatif. Il en va de même pour les différents dispositifs d’investissement locatif qui y sont consacrés. Par exemple, l’investissement locatif dans l’immobilier neuf permet de disposer d’un logement prêt à être mis en location, construit selon les normes environnementales en vigueur. Dans le cas d’un investissement dans l’ancien, si les prix d’acquisition semblent plus abordables que dans le neuf, il faudra toutefois envisager d’importants travaux de rénovation.

 

Optimiser la recherche du bien immobilier

 

En tenant compte des objectifs fixés, il est possible de faciliter la recherche du type de bien immobilier :

  • les quartiers dans les grandes villes sont appréciés par les étudiants, qui recherchent surtout des studios ou des petits appartements ;
  • les grandes résidences situées dans des quartiers calmes sont recherchées par les familles nombreuses ;
  • les appartements dans les immeubles en centre-ville sont également très demandés.

Le choix du type et de la localisation du bien sont des critères importants pour assurer une occupation continue, avec un risque de vacances locative réduit. Il est possible de se faire assister par un agent immobilier pour trouver les quartiers dans lesquels la demande en logement est supérieure à l’offre.

 

Savoir anticiper les risques

 

Pour réussir un investissement locatif, il est indispensable de savoir prendre des précautions. C’est pourquoi il est intéressant de faire appel à un professionnel de la gestion locative. Sinon, voici quelques conseils à suivre pour s’assurer de la rentabilité de l’investissement :

  • choisir soigneusement son futur locataire, afin de trouver une personne solvable ;
  • opter pour la garantie loyers impayés pour assurer la continuité des revenus.

Il faut aussi penser à ne pas voir trop grand pour un premier investissement et à diversifier ses placements. Concrètement, une rentabilité de 3 à 4 % est déjà convenable, un investissement immobilier est généralement un investissement sur le long terme.

 

Bien cerner les différents dispositifs de défiscalisation

 

Afin de profiter au mieux de la défiscalisation en matière d’immobilier locatif, il est impératif de bien comprendre les différents dispositifs actifs :

  • la loi Pinel permet une réduction d’impôt pouvant aller jusqu’à 21 % (pour une mise en location de 12 ans) dans certaines zones prédéfinies et concerne des logements neufs ;
  • le statut LMNP ou Loueur en Meublé Non Professionnel octroie un abattement de 50 % aux personnes louant un meublé et percevant moins de 32 900 € par an ;
  • la loi Censi-Bouvard est destinée aux logements correspondant à un meublé en résidence de service et permet à leurs propriétaires une réduction d’impôts de 11 %.
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